Pleyel un marque de piano qui date de l’époque romantic.
LE MAÎTRE DE LA FACTURE INSTRUMENTALE
La marque Pleyel constitue le chef d’oeuvre d’un musicien accompli, inventeur de génie, découvreur de talents, mécène généreux, éditeur audacieux : Ignaz Pleyel (1757-1831).
Elève puis ami de Haydn, il fut un musicien et un compositeur réputé dès la fin du XVIIIème siècle, auteur de 41 symphonies, 70 quatuors, de quintettes et d’opéras. Installé à Paris en 1795, il ouvre son premier magasin de musique et, en précurseur, édite les premières collections de livres de musique de poche bon marché.
Désireux d’adapter les instruments aux nouvelles exigences des compositeurs et intraprètes de son époque, Ignaz Pleyel fonde en 1807 la manufacture de pianos Pleyel et, dès lors ne se consacre plus qu’à cette nouvelle activité.
Fournisseur de l’impératrice Joséphine et de toutes les cours européennes, exportateur de pianos en Europe, en Amérique du Nord et du Sud, en Orient, Ignace Pleyel s’éteint en 1831. Son fils, Camille, grand pianiste, prend sa succession et donne une impulsion formidable à l’entreprise familiale. C’est sous sa direction que la « Maison Pleyel » acquiert sa renommée internationale.
En pleine période omantique » », Camille inaugure ses fameux « »salons » », hauts lieux de la vie musicale parisienne de cette époque, où de nombreux virtuoses et compositeurs de renom se font entendre pour la première fois. »
Ses successeurs, Auguste Wolff, en 1855, qui a multiplié les innovations pour améliorer la fiabilité et la solidité de ses pianos et donner naissance notamment au piano droit et, Gustave Lyon, à partir de 1887, éminent ingénieur et pionnier de l’acoustique architecturale, ont continué à développer les activités de la Maison Pleyel.
En 1865, l’entreprise se développe et se modernise avec la création de la Manufacture de Saint-Denis déployée sur plus de 55.000 m².
En ouvrant les portes de la « Salle Pleyel » rue du Faubourg Saint Honoré à Paris en 1927, Gustave Lyon perpétue une longue tradition d’amour de la musique et des beaux instruments. Dédié à toutes les formes de création, c’est à l’époque le premier centre artistique complet, unique au monde. Avec ce nouvel espace qui pouvait se targuer, à ce moment-là, d’offrir les meilleures conditions de travail et d’interprétation, l’esprit des fameux salons Pleyel prenait une autre dimension.
Puis la production fut déplacée en Allemagne pendant vingt-cinq ans avant d’être installée à nouveau en France, à Alès (Gard), depuis 1996.
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